23 octobre 2010
Je la regardais. La lumière rasante habillait son
Je la regardais. La lumière rasante habillait son corps et révélait
un léger duvet sur sa peau. Le contraste avec la pénombre de la pièce et
les tâches de lumière sur ses seins nus m'émerveillait. A force de
fixer cette beauté de l'instant, l'environnement devenait flou,
abstrait. Il ne restait que ces taches de lumière, brillantes, cerné
d'un mélange de teintes brunes.
_ Arrête de lorgner sur mes seins, sale obsédé pervers. Dit elle.
Le retour a la réalité fut pénible.
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